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Quand je contemple, en te rendant hommage, Le firmament, ton merveilleux ouvrage, Les cieux, la lune et les feux différents Que ta sagesse a placés dans leurs rangs, |
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Surpris, ravi, je me dis en moi-même : Qu'est-ce que l'homme, ô Majesté suprême ! Que ta bonté daigne s'en souvenir, Et que ta grâce aime à le prévenir ? |
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Tu l'as un peu fait moindre que les anges Qui dans le ciel célèbrent tes louanges ; Tu l'as aussi de gloire couronné Et d'un suprême honneur environné. |
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Tu l'as fait roi sur ces oeuvres si belles Que tu formas de tes mains immortelles ; Dans tes conseils, tout deviendra, Seigneur, Le marchepied de ce Dominateur. |