1: |
Il n'est point ici-bas de cité permanente, Chrétiens, où nous puissions rester ; (bis) La terrestre demeure est une frêle tente Qu'un vent léger peut renverser. |
2: |
Il n'est point ici-bas de cité permanente, Car c'est en haut qu'est notre part. (bis) Bientôt retentira la voix forte et puissante, Le glorieux cri du départ. |
3: |
Il n'est point ici-bas de cité permanente, Nous l'obtiendrons dans l'avenir. (bis) En attendant, déjà la foi la rend présente Et notre coeur peut en jouir. |
4: |
Encore un peu de temps, de travail et d'attente... Et puis, tes portes s'ouvriront, (bis) Cité du Dieu vivant, céleste et permanente, Où les élus demeureront. |