1: |
Tes paroles, toujours fidèles, Seigneur, ne passeront jamais ; Et mon âme qui croit en elles, N'a rien à craindre désormais. |
2: |
Je le sais, ô douce pensée ! Oui, je le sais, de tes brebis Nulle ne sera délaissée : Puissant Berger, tu l'as promis. |
3: |
Objets de ton amour suprême, Elles reposent dans ton sein ; Ni le monde, ni l'enfer même, Ne les raviront de ta main. |