1: |
De Dieu la parole Éclaire le coeur, Réjouit, console, Conduit au bonheur. Dès notre jeune âge Écoutons sa voix : C’est le saint message Du grand Roi des rois. |
2: |
Dieu, dit le saint Livre, Nous donne un Sauveur, Dont la mort délivre Le pauvre pécheur. C’est son Fils lui-même Qu’il livra pour nous ; Combien il nous aime ! À lui venons tous. |
3: |
Jésus nous appelle : « Venez », a-t-il dit. Son amour fidèle Au ciel nous conduit. Célébrons sa grâce, Chantons son amour ; Marchons sur sa trace Vers le saint séjour. |
1: |
Dieu nous accorde ces instants Passés devant sa face ; Bénis entre beaucoup d’enfants, Soyons reconnaissants ! Que Dieu rende efficace Sa parole de grâce, Puisqu’il daigne encore aujourd’hui Nous attirer à lui. |
refrain: |
Oh ! quel parfait bonheur ! Quel bonheur ! (bis) Oh ! quel parfait bonheur Nous offre le Seigneur ! Il donne sa parole, Qui guide et qui console, Qui nous dit que le bon Sauveur A sauvé le pécheur. |
2: |
Ah ! puissions-nous vraiment saisir Ce bienheureux message ; Y mettre tout notre plaisir, Croire, aimer, obéir. Le Seigneur encourage Les enfants de notre âge ; Il est l’Ami plein de douceur, Il est humble de coeur. |
1: |
Sauveur plein de tendresse, Daigne écouter les chants Qu’offrent dans leur faiblesse, Quelques jeunes enfants. |
2: |
Tu vas nous faire entendre Ta parole en ce jour : Donne-nous de comprendre Ta grâce et ton amour. |
3: |
En toi seul est la vie, Le pardon et la paix, Et ta voix nous convie À goûter ces bienfaits. |
4: |
Que notre âme docile Réponde à ton amour, Et, sous ton joug facile, Se range chaque jour. |
1: |
En quittant l’école Ah ! n’oublions pas La sainte parole Pour guider nos pas. |
2: |
Seigneur, que ta crainte Nous suive partout, Et que ta voix sainte Nous dirige en tout. |
3: |
Vers Jésus, sans cesse Élevons nos yeux, Et, dans sa tendresse. Nous serons heureux. |
4: |
Chantons la clémence, Chantons la grandeur Et l’amour immense De notre Sauveur. |
1: |
Ô Seigneur ! bénis la parole Que nous allons [ou : venons d’] ouïr ; Ne permets pas qu’elle s’envole De notre souvenir. |
2: |
Fais en nous germer la semence Que répandra [ou : répandit] ta main ; Garde nos coeurs de l’influence Du monde et du malin. |
3: |
Et qu’ainsi ton saint Évangile, Pénétrant notre coeur, Chaque grain en rapporte mille, À ta gloire, ô Seigneur ! |
1: |
Bon Sauveur, Berger fidèle, Conduis nos pas chaque jour, Et, pour la vie éternelle, Garde-nous dans ton amour. |
refrain: |
Béni sois-tu, tendre Maître ! Jésus, nous sommes à toi ; Qu’à toi seul nous voulions être : Soutiens notre faible foi. |
2: |
Toi, qui nous reçois par grâce, Bien que petits et pécheurs, Par ta puissante efficace Près de toi garde nos coeurs. |
3: |
Bon Sauveur, Berger fidèle, Pour que nous suivions tes pas, Remplis notre âme de zèle Et porte-nous dans tes bras. |
1: |
Jésus frappe à votre porte, Son grand salut Il apporte. Que ferez-vous de son appel ? (bis) |
1: |
Seigneur, par ta sagesse, Dirige-moi ; Forme, par ta tendresse, Mon coeur pour toi. Je ne pourrais rien faire Seul ici-bas ; Que ta main tutélaire Guide mes pas. |
2: |
Protège dans ta grâce Mon faible coeur ; Qu’il suive en paix ta trace Ô mon Sauveur ! En pleurs ou dans la joie Que ton amour Illumine ma voie Jour après jour. |
1: |
Pour moi l’aurore D’un nouveau jour Se lève encore Dans ce séjour. Sur ton enfant, Ô Dieu clément ! Dès le matin Pose ta main ; Verse en mon âme Ta douce paix ; Mon coeur réclame Tous tes bienfaits. |
1: |
Oh ! fais que je t’aime, Seigneur, toujours plus, Car le bien suprême, C’est l’amour de Jésus. |
1: |
J’ai deux petits yeux pour lever au ciel Et deux lèvres pour louer l’Éternel, J’ai deux oreilles pour écouter Dieu, Deux petits pieds pour le suivre en tout lieu, Deux petites mains pour plaire au Seigneur, Et pour bien l’aimer, j’ai mon petit coeur ! |
1: |
Maître débonnaire Qui portas mes maux, Je suis ton salaire Pour tous tes travaux. J’étais misérable, Mais je suis à toi : Ta grâce ineffable A tout fait pour moi. |
2: |
Garde en ta clémence Mon âme à jamais, Dans la jouissance De ta douce paix : Soutiens ma faiblesse, Guéris ma langueur, Et tiens-moi sans cesse Bien près de ton coeur. |
1: |
Seigneur Jésus, en toi j’espère, Toi le Dieu fort et tout-puissant ! Tu peux exaucer la prière Que te présente — un jeune enfant. (bis) |
2: |
Seigneur, tu connais ma faiblesse ; Autour de moi tout est danger ; Garde-moi donc dans ta tendresse, Près de ton coeur, — ô bon Berger ! (bis) |
3: |
Que ton bâton, que ta houlette, Soient toujours mes fermes soutiens ; Je ne craindrai pas la disette : Ô mon Sauveur, — je t’appartiens. (bis) |
4: |
Auprès de la source d’eau vive, Conduis mes pas, ô bon Pasteur ! Pour toi seul que mon âme vive, Que t’aimer soit — tout mon bonheur. (bis) |
1: |
Seigneur ! sanctifie Nos jours, nos moments ; Fais que notre vie T’honore en tout temps. Que de ta présence Au milieu de nous, L’heureuse influence Nous pénètre tous. |
2: |
Puissions-nous sans cesse Marcher par la foi, Et dans la détresse Regarder à toi ! Heureux qui repose Sur ton bras puissant ! On a toute chose En te possédant. |
1: |
Connais-tu le bon Berger, Le Seigneur Jésus qui t’aime ? Son coeur ne saurait changer : Crois à son amour suprême. |
2: |
C’est lui, le Sauveur divin, Dont la mort sur le Calvaire T’acquit un bonheur sans fin Dans la maison de son Père. |
3: |
Viens à lui, viens sans tarder : Sa grâce aujourd’hui t’attire. Te sauver et te garder Est ce que Jésus désire. |
1: |
Nul enfant n’est trop petit Pour la route étroite ; Jésus même l’y conduit, Et marche à sa droite ; {Même le plus jeune coeur Peut être un temple au Seigneur.} (bis) |
2: |
Ce sont aussi les petits Que Jésus convie, Et dont les noms sont écrits Au livre de vie. {Dans les parvis éternels, Dieu reçoit ceux qui sont tels.} (bis) |
3: |
Et, dans les concerts des cieux, Leurs voix enfantines Uniront leurs sons joyeux Aux hymnes divines. {Petits et grands, d’un seul coeur, Loueront alors le Seigneur.} (bis) |
1: |
Venez au Prince de la vie, Accourez tous à Jésus-Christ ! Lui-même aujourd’hui vous convie Par sa parole et son Esprit. |
refrain: |
Qui se confie en sa bonté De lui n’est jamais rejeté. (bis) |
2: |
Jésus-Christ, par son sacrifice, Sur la croix autrefois offert, Est devenu votre justice : Par lui le ciel vous est ouvert. |
3: |
Venez donc avec confiance Recevoir la vie et la paix ; Sauvés par lui, par sa puissance, Vous serez heureux à jamais. |
1: |
Petit enfant, Jésus t’appelle ; Son coeur te veut dès maintenant : Accours à ce Sauveur fidèle, Petit enfant. (bis) |
2: |
Petit enfant, Jésus-Christ t’aime : Il a versé pour toi son sang ; Il veut t’avoir dans son ciel même, Petit enfant. (bis) |
3: |
Petit enfant, ta frêle vie Peut n’avoir plus qu’un court moment ; Qu’à Jésus ton coeur se confie, Petit enfant. (bis) |
4: |
Petit enfant, près de son Père, Son tendre amour te conduisant, Tout sera paix, joie et lumière, Petit enfant. (bis) |
1: |
Enfants, il est une fête, Que, dans son immense amour, Le Seigneur Jésus apprête Au ciel, son heureux séjour. |
2: |
Il ne veut pas que personne Soit exclu du grand festin ; À celui qui vient, il donne Libre accès, bonheur sans fin. |
3: |
À cette divine grâce Répondons d’un coeur joyeux, Et venons prendre la place Que Jésus nous offre aux cieux. |
1: |
Aux enfants de votre âge Comme aux anciens bergers, S’adresse le message Des divins messagers. |
2: |
Un Sauveur qui vous aime, Et veut vous rendre heureux, Le Fils de Dieu lui-même, Est descendu des cieux. |
3: |
Il veut, lui dont les anges Proclament la grandeur, Accepter les louanges D’un pauvre enfant pécheur. |
4: |
Lui-même vous convie Avec tant de douceur : Il vous donna sa vie, Donnez-lui votre coeur. |
5: |
À son appel si tendre Quel coeur peut se fermer ? Ah ! puissiez-vous l’entendre, Croire en Christ et l’aimer. |
1: |
Le Seigneur Jésus invite Les plus petits venir, Accourez, accourez vite Dans ses bras : il veut bénir. Accourez (bis), dans ses bras : il veut bénir. |
2: |
Il donna pour vous sa vie ; Sur la croix, il a souffert. Pour vous, ô grâce infinie ! Pour vous, le ciel est ouvert. Oui, pour vous (bis), pour vous, le ciel est ouvert. |
3: |
Là, Jésus est sur son trône Ceint de gloire et de beauté, Vous gardant une couronne, Une place à son côté. Une place (bis), une place à son côté. |
4: |
À ce Sauveur si fidèle, Oh ! venez dès aujourd’hui. Écoutez : Il vous appelle ; Le bonheur est près de lui. Accourez (bis) : le bonheur est près de lui. |
1: |
Enfant, le connais-tu, le bien-aimé du Père, Venu dans ces bas lieux, rempli de charité ; Qui laissa son séjour de gloire et de lumière, Et s’abaissa vers nous dans sa tendre bonté ? |
2: |
Enfant, le connais-tu, celui qui, plein de grâce, Parcourut son sentier essuyant tous les pleurs ; Accueillant les petits, laissant partout la trace D’un amour qui sauvait les plus vils des pécheurs ? |
3: |
Enfant, le connais-tu, celui dont la couronne Fut d’épines ceignant son divin front meurtri ; À qui le monde impie a donné pour seul trône La croix où s’exhala vers Dieu son dernier cri ? |
4: |
Ah ! connais-tu Jésus et sa grâce suprême ? C’est pour toi qu’il vécut ici-bas en souffrant ; C’est pour toi qu’il est mort, ce Fils de Dieu qui t’aime ; C’est pour te rendre heureux : le crois-tu, mon enfant ? |
1: |
Venez au Sauveur qui vous aime, Venez, il a brisé vos fers ; Il veut vous recevoir lui-même ; Ses bras vous sont ouverts. |
refrain: |
Oh ! quel beau jour, Sauveur fidèle, Quand, nous appuyant sur ton bras, Dans la demeure paternelle Nous porterons nos pas ! |
2: |
Venez pécheurs, il vous appelle ; Le bonheur est dans son amour. Tournez vers lui ce coeur rebelle ; Il sauve sans retour. |
3: |
Le temps s’enfuit, l’heure s’écoule : Qui sait si nous vivrons demain ? Jésus est ici dans la foule ; Jésus vous tend la main ! |
1: |
Ô vous qui n’avez pas la paix ! Venez, Jésus la donne. Pure, profonde et pour jamais, Venez, Jésus pardonne. Quand Jésus remplit un coeur, Il déborde de bonheur, Et l’effroi ne l’atteint plus : Gloire, gloire à Jésus ! |
2: |
Vous qui tombez à chaque pas, Venez : Jésus délivre ; Qui se repose sur son bras Peut à toujours le suivre. Quand Jésus remplit un coeur, Il déborde de bonheur, Car il ne chancelle plus : Gloire, gloire à Jésus ! |
3: |
Vous qui craignez le lendemain, Venez : Jésus rassure ; Pas à pas, la main dans sa main, La route devient sûre. Quand Jésus remplit un coeur, Il déborde de bonheur, Et l’effroi ne l’atteint plus : Gloire, gloire à Jésus ! |
4: |
Vous tous qui souffrez isolés, Venez, Jésus vous aime ; Pour le troupeau des désolés Il s’est donné lui-même. Quand Jésus remplit un coeur, Il déborde de bonheur ; Seul, oh non ! il ne l’est plus : Gloire, gloire à Jésus ! |
5: |
Vous qui tremblez sous la terreur Que la mort vous inspire, Venez, Jésus le Rédempteur A détruit son empire. Avec lui nous revivrons, Avec lui nous règnerons ; Et la mort ne sera plus : Gloire, gloire à Jésus ! |
1: |
Être un agneau Du cher troupeau De ce Berger fidèle, Quelle douceur ! À ce bonheur Lui-même vous appelle. |
2: |
Pour être heureux, Toujours joyeux, En traversant la terre, Venez à lui, Dès aujourd’hui Pour le suivre et lui plaire. |
3: |
Il veut bénir Dans l’avenir Et vous donner sa gloire. Entre ses bras N’irions-nous pas L’écouter et le croire ? |
4: |
Ô cher Sauveur, Pour le pécheur Tu t’es offert toi-même ; Quand je te vois Souffrant la croix Dis : Combien il nous aime ! |
1: |
Tous les matins, tous les soirs, Pensons à Jésus ! Dans nos jeux et nos devoirs, Pensons à Jésus ! À l’école, à la maison, Rappelons-nous ce beau Nom ! Et soyons de jour en jour, Tous heureux dans son amour, Dans son amour. |
1: |
Viens à Jésus, il t’appelle, Il t’appelle aujourd’hui ! Trop longtemps tu fus rebelle : Aujourd’hui, viens à lui ! |
2: |
Jésus t’aime, Jésus t’aime, Jésus t’aime aujourd’hui ! Avec ta misère extrême, Aujourd’hui, viens à lui ! |
3: |
Il pardonne, il pardonne, Il pardonne aujourd’hui ! Reçois le salut qu’il donne : Aujourd’hui, viens à lui ! |
4: |
Il efface, il efface Tes péchés aujourd’hui ! Ce jour est un jour de grâce : Aujourd’hui, viens à lui ! |
1: |
C’est encor temps ! l’Agneau de Dieu t’appelle Aujourd’hui viens à la vie éternelle. C’est Jésus ! réponds-lui : Oh ! viens, entre aujourd’hui ! |
2: |
Pour le festin la salle est déjà prête ; Les conviés se rendent à la fête. Viens aussi, réponds-lui : Oh ! viens, entre aujourd’hui ! |
3: |
Il se remplit, le palais de la grâce ; Hâte-toi donc, il y reste encor place. Viens à Christ, réponds-lui : Oh ! viens, entre aujourd’hui ! |
4: |
C’est encor temps, car la porte est ouverte ; Par le Sauveur l’entrée en est offerte. Viens aussi, réponds-lui : Oh ! viens, entre aujourd’hui ! |
5: |
Entre sans peur, c’est Jésus qui t’invite, À son amour il n’est point de limite. Viens à lui, réponds-lui : Oh ! viens, entre aujourd’hui ! |
1: |
Le Seigneur nous appelle ; Allons à lui ! Il est bon et fidèle, Un sûr appui. Le salut qu’il accorde, Nul ne peut le ravir : Plein de miséricorde Il veut bénir. |
2: |
Son amour est extrême : Ce bon Sauveur S’est dévoué lui-même Pour le pécheur. Oui, sur le bois infâme Il a voulu mourir ; Espère en lui, mon âme ; Il veut bénir. |
1: |
Enfants, célébrons du Sauveur L’amour, la grâce et la grandeur ; Rendons-lui de tout notre coeur Hommage, gloire, honneur ! |
2: |
De Jésus proclamons l’amour : Au ciel, son bienheureux séjour, Il veut nous introduire un jour : Attendons son retour ! |
3: |
Gloire à ton immense bonté ! Jésus, ton heureux racheté Célébrera ta charité Durant l’éternité. |
1: |
Louons de tout notre coeur Le Seigneur ; Qu’envers lui le faible enfant Soit reconnaissant. Dans sa grandeur adorable Ce Sauveur si charitable, Prends soin de tous les petits, Comme Il l’a promis. |
2: |
De Jésus j’entends la voix — Et je crois — : « Laissez venir les enfants — Simples, confiants. Le règne de Dieu rassemble Ceux dont le coeur leur ressemble ». Oh ! bonheur ! sachons-le tous : Jésus pense à nous. |
3: |
Célébrons tous son amour En ce jour ; Que notre constant désir Soit de le servir ! Ensemble suivons la trace Du Sauveur qui, dans sa grâce, Pour nous tous prêts à périr, A voulu mourir. |
4: |
Combien son amour pour nous Nous est doux ! Faisons de ses soins touchants L’objet de nos chants. Pour nos fautes qu’il pardonne, Pour cette paix qu’il nous donne, Jusque dans l’éternité Louons sa bonté. |
1: |
Suivez, suivez l’Agneau jusqu’au soir de la vie ; Suivez, suivez-le tous, enfants, dès le berceau. Au bonheur des élus sa grâce vous convie : Suivez, suivez toujours, Suivez toujours l’Agneau. |
2: |
Suivez-le sans frayeur : au jour de la tristesse, Apportez à Jésus votre pesant fardeau. Suivez-le dans la paix au jour de l’allégresse : Suivez, suivez toujours, suivez toujours l’Agneau. |
3: |
Oui, suivez-le partout. Le berger qui vous mène Ne saurait égarer son cher et faible agneau. Le saint joug du Seigneur est la plus douce chaîne : Suivez, suivez toujours, suivez partout l’Agneau. |
4: |
Suivez-le sans broncher ; le chemin solitaire Aboutira bientôt au céleste repos. Jésus conduit au ciel qui le suit sur la terre : Suivez, suivez toujours, suivez toujours l’Agneau. |
1: |
Une bonne nouvelle Descend des cieux. Pécheur, Jésus t’appelle : Lève les yeux. Chargé de te misère, De tes péchés confus, Avec un coeur sincère, Viens à Jésus. |
2: |
Ce bon Sauveur lui-même Te racheta ; Il montra comme il t’aime À Golgotha. Au sang qui purifie Les coeurs souillés, perdus, Que ton coeur se confie : Viens à Jésus. |
3: |
De sa miséricorde Jésus fait don ; À qui croit, il accorde Un plein pardon. Hâte-toi, le temps passe, Passe et ne revient plus ; Aujourd’hui, jour de grâce, Viens à Jésus. |
4: |
Viens, que rien ne t’arrête, Viens à l’instant ; Ta délivrance est prête, Jésus t’attend. En lui, si tu veux croire, Tes péchés ne sont plus, Et tu peux chanter : Gloire, Gloire Jésus ! |
1: |
Écoutez tous une bonne nouvelle : C’est pour sauver que Jésus-Christ est mort ! Qui croit au Fils a la vie éternelle : Notre salut est un don du Dieu Fort. (bis) |
2: |
Ah ! recevez cette douce parole Que l’Esprit Saint adresse à votre coeur. C’est Jésus seul qui guérit et console : Accourez tous vers ce divin Sauveur ! (bis) |
1: |
Gloire à Dieu ! force, puissance, Hommage, éternel honneur, Amour et reconnaissance, À Jésus-Christ le Sauveur ! |
2: |
Sauveur couronné d’épine, Ton sang coula sur la croix Et la colère divine T’accabla de tout son poids ! |
3: |
Pour toi, Jésus, la souffrance, Les pleurs, la mort, l’abandon ! Et pour nous la délivrance, Le salut et le pardon ! |
4: |
Gloire à Dieu ! force, puissance, Hommage, éternel honneur, Amour et reconnaissance, À Jésus-Christ le Sauveur ! |
1: |
À Jésus-Christ chantons un saint cantique Pour exalter son amour magnifique : Chantons du coeur Le Dieu Sauveur. |
2: |
Jésus jadis bénissait le jeune âge, Toujours le même, il reçoit notre hommage : Chantons du coeur Ce bon Sauveur. |
3: |
Bientôt au ciel où l’adorent les anges, Tous réunis nous dirons les louanges Du Dieu Sauveur : Oh ! quel bonheur ! |
1: |
Chantons, chantons sans cesse La bonté du Seigneur ; Qu’une sainte allégresse Remplisse notre coeur. Un salut éternel Est descendu du ciel : Nous avons un Sauveur. (bis) |
2: |
Ô bonheur ineffable, Immense charité ! Dieu pardonne au coupable Contre lui révolté. Pour porter nos forfaits, Pour sceller notre paix, Jésus s’est présenté. (bis) |
3: |
Au trône de la grâce, Si nous levons les yeux, Nous rencontrons la face D’un Sauveur glorieux. Pour nous, jusqu’à la fin, Intercesseur divin, Il est victorieux. (bis) |
4: |
Bientôt, vêtu de gloire, Du ciel il descendra ; Consommant sa victoire, Il nous délivrera. Son heureux racheté, Par lui ressuscité, Tel qu’il est le verra. (bis) |
1: |
Oh ! que ton nom, Sauveur fidèle, À notre âme soit précieux ! Que constamment il nous rappelle Que pour nous tu quittas les cieux. |
2: |
À ta naissance les saints anges, Venus du séjour éternel, Font entendre un chant de louanges : « Paix sur la terre et gloire au ciel ! » |
3: |
Petit enfant, dans une étable, Tu t’abaissas jusques à nous, Dévoilant au coeur misérable Ce que la grâce a de plus doux ». |
4: |
C’était le coeur de Dieu lui-même S’ouvrant à nos regards ravis, Et disant : « Voyez, je vous aime ; Car pour vous j’ai donné mon Fils ! » |
5: |
Et tu parcourus sur la terre Ta route, à tous faisant du bien, Humble, patient, débonnaire, Aux coeurs brisés ouvrant le tien. |
6: |
Puis, sur la croix, dans la souffrance, Comme un agneau tu t’es offert, Pour qu’au croyant, plein d’assurance, Le chemin vers Dieu fût ouvert. |
7: |
Oh ! que ton nom, Sauveur fidèle ! Nous soit toujours plus précieux : Que constamment il nous rappelle Que tu vins nous ouvrir les cieux ! |
1: |
Louons Jésus par qui Dieu nous pardonne ; Dans son amour il vint mourir pour nous ; À tous les siens il promet la couronne, Et pour leur coeur son joug est le plus doux. Jésus (bis), garde en ton amour, Jésus (bis), nos coeurs chaque jour. |
2: |
Il veut au ciel, dans sa grâce suprême, Autour de lui, bientôt nous réunir ; C’est pour toujours que le Seigneur nous aime : Puissions-nous tous à jamais le bénir ! Jésus (bis), garde en ton amour, Jésus (bis), nos coeurs chaque jour. |
1: |
Nous t’adorons, Seigneur de gloire, Exalté plus haut que les cieux ! Nous célébrons, Dieu de victoire ! Ton nom à jamais glorieux ! À toi notre hommage, À toi d’âge en âge, La louange dans les hauts lieux ! |
2: |
Ô Roi des rois, ceint de puissance, Qui vas paraître en ta beauté, Tu fus ici, dans la souffrance, Haï de tous et rejeté ! À toi notre hommage, À toi, sans partage, Louange dans l’éternité. |
3: |
Ô Jésus, Prince de la vie ! Cloué sur un infâme bois, Abandonné, dans l’agonie, Tu souffris la mort de la croix ! Reçois notre hommage ; Qu’à toi, d’âge en âge, S’élèvent nos coeurs et nos voix. |
4: |
Dans ta gloire et celle du Père, Tu vas venir plein de splendeur, Et, dans le ciel et sur la terre, Tu règneras Christ et Seigneur ! Mais déjà notre âme, Jésus, te proclame Fils de Dieu, puissant Rédempteur ! |
1: |
Servons tous dès notre enfance Notre adorable Sauveur ; Il veut, dans sa grâce immense, Nous donner le vrai bonheur. Jésus est le meilleur Maître, Son coeur aime les enfants ; C’est à lui qu’on ne peut être Ni trop tôt, ni trop longtemps. |
2: |
Jésus bénit et protège Ceux qui marchent par la foi ; Il les garde de tout piège, Dans leurs coeurs il met sa loi. Heureux qui peut le connaître, L’aimer et dire en tout temps : C’est à lui qu’on ne peut être Ni trop tôt, ni trop longtemps. |
3: |
S’il veut bénir la jeunesse, Il guide encor l’age mûr ; Dans la paix, dans la détresse, Il est l’abri le plus sûr. À lui venons nous soumettre, Et disons, toujours contents : Qu’à Jésus on ne peut être Ni trop tôt, ni trop longtemps. |
1: |
Qui donc soutiendra ma faiblesse Dans le danger ? Qui donc pourra dans ma jeunesse Me diriger ? Qui me donnera dans la vie Paix et bonheur ? C’est l’Ami divin que je prie, C’est le Sauveur. |
2: |
Et bien que je ne sois encore Qu’un jeune enfant, Le Sauveur, quand ma voix l’implore, Toujours m’entend. Il sait si je verse des larmes Ou suis joyeux, Et peut dissiper mes alarmes En tous les lieux. |
3: |
Jésus qui m’aimes, qui m’appelles, Ô mon Sauveur ! Viens par tes promesses fidèles Former mon coeur. Donne-moi ta douce assistance, Guide mes pas ; On repose avec assurance Entre tes bras. |
1: |
Heureux celui qui n’aspire Qu’à suivre en paix le Seigneur ! Jésus l’attire Avec douceur, Et tout conspire À son bonheur. (bis) |
2: |
Le bon Berger qui l’appelle, De tout péché l’affranchit. Toujours fidèle, Il l’affermit ; D’un nouveau zèle, Il l’enrichit. (bis) |
3: |
Ton bras, Seigneur ! le protège : Il trouve en toi son appui. Satan l’assiège, Mais devant lui Tombe tout piège, Ta face a lui. (bis) |
1: |
Le bonheur, la paix que Jésus donne, Joie immense ! inondent tout mon coeur. Mes péchés, je sais qu’Il les pardonne Et je me réjouis en mon Sauveur |
1: |
Quel autre ai-je aux cieux ; Quel autre en ces lieux, Que toi, mon Sauveur ! Mon Berger, mon guide, L’ami de mon coeur ? |
2: |
En toi, Dieu Sauveur ! J’ai la paix du coeur : Tu fis tout pour moi : Et sur ta justice Se fonde ma foi. |
3: |
Je vis donc en paix, Parce que je sais Que, même en la mort, Christ est ma retraite, Mon appui, mon fort. |
1: |
T’aimer, Jésus, te connaître, Se reposer sur ton sein : T’avoir pour ami, pour maître, Et pour breuvage et pour pain ; Savourer en paix ta grâce ; De ta mort, puissant Sauveur ! Goûter la sainte efficace, Quelle ineffable douceur ! |
2: |
Ô bonheur inexprimable De t’avoir pour son Berger ! Toujours tendre et secourable, Ton coeur ne saurait changer. Dans ta charité suprême, Tu descendis ici-bas Chercher tes brebis toi-même Et les prendre dans tes bras. |
3: |
Tu nous combles de tes grâces, Tu nous connais nom par nom ; Tu nous conduis sur tes traces Vers la céleste maison. Tu veux de notre faiblesse, De tous nos maux t’enquérir ; Quel amour ! Tu veux sans cesse Nous pardonner, nous guérir. |
1: |
Mon coeur joyeux, plein d’espérance, S’élève à toi, mon Rédempteur ! Je connais ton amour immense, Qui sauve à jamais le pécheur ; En toi seul est ma confiance, En toi seul est tout mon bonheur. |
2: |
C’est vers ton ciel que, dans ma course, Je vois aboutir tous mes pas. De ton Esprit la vive source Me rafraîchit quand je suis las ; Et, dans le danger, ma ressource Est dans la force de ton bras. |
3: |
Le jour, je suis sous ta lumière ; La nuit, je repose en ton sein. Au matin, ton regard m’éclaire Et me guide dans mon chemin ; Et chaque soir, ô tendre Père, Tu prépares mon lendemain. |
4: |
Je vois ainsi venir le terme De mon voyage en ces bas lieux, Et j’ai l’attente vive et ferme Du saint héritage des cieux : Sur moi si la tombe se ferme, J’en sortirai tout glorieux. |
1: |
Oui, le souverain bien-être, Le vrai bonheur ici-bas, C’est d’avoir Jésus pour maître, De le suivre pas à pas. |
2: |
De l’amour dont il nous aime, Rien ne peut rompre le cours ; Il nous acquit pour lui-même, Il est à nous pour toujours. |
3: |
Jamais son amour fidèle À nos voeux ne manquera : C’est une source éternelle Qui jamais ne tarira. |
4: |
S’il veut que notre coeur l’aime Sans partage, ni détour, C’est qu’il est d’abord, lui-même, Immuable en son amour. |
1: |
Jésus m’aime, Moi petit ; Oui, lui-même Me l’apprit. Ma faiblesse Trouve en lui Paix, sagesse, Tendre appui. |
2: |
Jésus m’aime : Qu’il est bon ! Le ciel même, Le pardon, (Grâce immense !) Sont acquis À l’enfance, Aux petits ! |
3: |
Si je l’aime, Quel bonheur ! Il veut même Dans mon coeur Faire luire Son Esprit ; Me conduire, Moi petit. |
4: |
Jésus m’aime ; Il m’entend ; Là haut même Il m’attend, Quelle grâce ! Oui, je vais Voir sa face Pour jamais. |
1: |
Jésus, mon Fort et mon Rocher, Mon grand Libérateur ! Quel ennemi peut m’approcher Sous ton bras protecteur ? |
2: |
Ta grâce, ô Dieu ! m’a pardonné, Et ton ciel est à moi. De ta puissance environné, Je puis tout par la foi. |
3: |
La délivrance est dans ton bras, Et l’amour dans ton coeur. Quel bonheur ! Toujours tu seras Ma gloire et mon Sauveur ! |
1: |
Oh ! quelle paix parfaite Dans tes bras, ô Jésus ! Mon âme satisfaite, Là ne s’alarme plus. |
2: |
Ton amour me console ; C’est toi qui me défends ; De ta douce parole J’écoute les accents. |
3: |
L’ennemi ne peut nuire À qui reste en ton sein ; Tout son effort expire Sous ton pouvoir divin. |
4: |
Oui, mon coeur est sans crainte, Je suis en sûreté ; De ton amour l’étreinte Me tient bien abrité. |
1: |
Avançons-nous joyeux, toujours joyeux, Vers le séjour de tous les bienheureux, Vers la demeure où Jésus pour nous prie, Marchons, marchons, c’est là notre patrie ; Avançons-nous joyeux, toujours joyeux, Vers le séjour de tous les bienheureux. |
2: |
Des chants d’amour retentiront aux cieux : Quels doux concerts, — hymnes des bienheureux ! Nous prendrons part à la sainte harmonie Quand nous aurons atteint notre patrie. Avançons-nous, joyeux, toujours joyeux, Vers le séjour de tous les bienheureux. |
3: |
Oui, des hauts cieux, nous t’attendons, Seigneur, Car c’est à toi qu’appartient notre coeur. «Viens, ô Jésus !» c’est le cri de l’Église ; «Recueille-nous dans la gloire promise.» Là nous serons joyeux, toujours joyeux : C’est le séjour de tous les bienheureux. |
4: |
Heureux bientôt, dans un monde nouveau, Nous chanterons les gloires de l’Agneau ; Là plus de deuil, plus de cris, plus d’alarmes, Plus de péché, de douleur, ni de larmes ; Avec Jésus, joyeux, toujours joyeux, Dans son amour nous serons bienheureux ! |
1: |
J’aime écouter le beau récit, Quand les petits enfants, Afin que Jésus les bénît, S’approchaient confiants ; Posant sa main pour les bénir, Jésus dit : Laissez-les venir ! Et cette voix S’adresse encore à moi petit ; S’adresse à moi, À moi petit. |
2: |
Je suis heureux, car je le crois, Jésus m’aime aujourd’hui, Et les enfants comme autrefois, Peuvent aller à Lui. Il promet le royaume à ceux Qui sont, dit-il, petits comme eux. Oui, c’est pour moi, Ce qu’ici-bas Jésus a dit. Oui, c’est pour moi, Pour moi, petit. |
1: |
Tout entier pour Jésus Christ, je voudrais être, Et n’avoir plus jamais honte d’un tel Maître ; Confesser son Nom et souffrir, s’il le faut, Ah ! je le pourrai par la force d’En-haut. |
1: |
C’est Dieu qui nous aime, Réjouissons-nous ! Son amour suprême Nous embrasse tous. |
2: |
Ô Dieu tutélaire ! Qui vois nos besoins, Tu te montres Père, Dans tes tendres soins. |
3: |
Pendant le voyage Ton coeur suit nos pas Et nous encourage, Quand nous sommes las. |
4: |
Ton Esprit de grâce Soutient notre coeur. Nous fait voir ta face, Ô notre Sauveur ! |
5: |
Ô Dieu d’espérance, Dieu de charité ! Notre confiance Est dans ta bonté. |
1: |
Jésus est notre ami suprême. Oh ! quel amour ! Mieux qu’un tendre frère il nous aime. Oh ! quel amour ! Ici, famille, amis, tout passe ; Le bonheur paraît et s’efface ; Son coeur seul jamais ne se lasse. Oh ! quel amour ! |
2: |
Il est notre vie éternelle. Oh ! quel amour ! Célébrons son oeuvre immortelle. Oh ! quel amour ! Par son sang notre âme est lavée : Au désert il l’avait trouvée, Et dans sa grâce il l’a sauvée. Oh ! quel amour ! |
3: |
Il s’est offert en sacrifice. Oh ! quel amour ! Nous bénir est tout son délice. Oh ! quel amour ! Qu’à sa voix notre âme attentive, Toujours en paix, jamais craintive, Près de son coeur doucement vive. Oh ! quel amour ! |
1: |
Tel que je suis, sans rien à moi, Sinon ton sang versé pour moi Et ta voix qui m’appelle à toi, Agneau de Dieu, — je viens ! (bis) |
2: |
Tel que je suis, bien vacillant, En proie au doute à chaque instant, Lutte au-dehors, crainte au-dedans, Agneau de Dieu, — je viens ! (bis) |
3: |
Tel que je suis... Ton grand amour A tout expié sans retour. Je puis être à toi dès ce jour, Agneau de Dieu, — je viens ! (bis) |
1: |
Vers le ciel ! (bis) Écoutons ce saint appel, Et que notre coeur s’élance Dans la joyeuse espérance De te voir, Emmanuel. |
2: |
Quel espoir, (bis) Que celui, Christ, de te voir ! Oh ! que n’avons-nous des ailes… Aux demeures éternelles, Nous volerions dès ce soir ! |
3: |
Quel bonheur (bis) Ineffable pour le coeur, D’entrer dans la cité sainte ! Affranchis de toute crainte, Tu nous y conduis, Seigneur. |
1: |
J’entends ! (bis) quel bonheur ! La voix (bis), du Sauveur. Jésus vient m’offrir sa grâce Qui délivre le pécheur ; Il veut occuper la place Dans ma vie et dans mon coeur. |
2: |
Jésus ! (bis) bon Sauveur ! Pour toi (bis), prends mon coeur. Viens y faire ta demeure, Ta demeure pour jamais ; Et, jusqu’à ma dernière heure, Qu’il soit rempli de ta paix. |
3: |
Bientôt (bis), dans les cieux, Jésus (bis), tous heureux, Nous chanterons tes louanges Et nous dirons ta bonté, Plus près de toi que les anges Dans toute l’éternité. |
1: |
Il est un sentier de lumière, De paix et de sécurité, Qui nous fait traverser la terre, Le coeur heureux, en liberté. |
2: |
C’est une voie étroite et sainte, Loin du monde, loin du péché, Mais d’où l’amour bannit la crainte : Jésus lui-même y a marché. |
3: |
C’est le sentier que, sur la terre, Nous ouvrit son immense amour, Où de sa face la lumière Plus brillante croît chaque jour. |
4: |
Jusqu’au moment où, vers son trône, Nous irons, loin de ce bas lieu, Dans le séjour où tout rayonne De la gloire du Fils de Dieu. |
1: |
Il est un roc séculaire Que Dieu, pour mon coeur lassé, Comme un abri tutélaire, Au sein des flots a placé. |
refrain: |
Mon rocher, ma forteresse, Mon asile protecteur, Mon recours dans la détresse, C’est Jésus le Rédempteur. |
2: |
À mes pieds l’océan gronde, Le vent siffle autour de moi : Sur Christ, mon rocher, je fonde Mon espérance et ma foi. |
3: |
En vain l’ouragan fait rage Et nulle clarté ne luit ; Paisible au sein de l’orage, J’attends l’aube après la nuit. |
4: |
Jouet de l’onde agitée, Cet abri, l’as-tu trouvé ? Viens, pauvre âme tourmentée. Au rocher qui m’a sauvé. |
1: |
Si vous saviez quel Sauveur je possède ! Il est l’Ami le plus tendre de tous. Il sympathise, il prie, il intercède. Oh ! je voudrais qu’il fût aussi pour vous ! |
refrain: |
Mon Sauveur vous aime, Ah ! cherchez en lui Votre Ami suprême, Votre seul appui. |
2: |
Si vous saviez la paix douce et profonde Que le Sauveur dans mon âme apporta ! Céleste paix que méconnaît le monde, Elle jaillit pour vous de Golgotha. |
3: |
Si vous saviez quelle douce espérance Le Dieu de paix fait rayonner des cieux ! Combien sa voix sait calmer la souffrance, Et son regard rendre le coeur joyeux ! |
4: |
Quand vous saurez combien Jésus vous aime, Quand vous saurez combien son joug est doux, Ne gardez pas ce trésor pour vous-même, Mais proclamez ce qu’il a fait pour vous ! |
1: |
Quelques mots à Jésus, oui quelques mots souvent, Et savoir tout lui dire, oh ! que c’est bienfaisant ! Nos troubles, nos ennuis, souvent nous l’avons vu, S’apaisent vite après quelques mots à Jésus. |
2: |
Quelques mots à Jésus, quand on est affligé, Quand on a fait du mal et qu’on en est fâché, Oui, ces mots de regrets, enfants, n’hésitons plus, Pour être pardonnés, disons-les à Jésus. |
3: |
Quelques mots à Jésus, au milieu du bonheur, Lui répéter souvent: Merci, merci, Seigneur ! Voilà ce qui lui plaît, son coeur en est ému ; Ah! sachons dire ces quelques mots à Jésus ! |
1: |
Tu vins du ciel, Berger fidèle, Chercher ici-bas tes brebis, {Leur donner la vie éternelle Et les conduire au Paradis.} (bis) |
2: |
Pour elles tu laissas ta vie Et tu les gardes dans ton sein ; {Au Père ton coeur les confie : Qui les ravira de sa main ?} (bis) |
3: |
Donne-nous de suivre ta trace, Écoutant ta voix, ô Jésus ! {Jusqu’au moment où, par ta grâce, Dans ton ciel nous serons reçus.} (bis) |
1: |
Chaque jour de ma vie, Ô Jésus, mon Sauveur ! Donne-moi, je te prie, De goûter ta faveur. |
2: |
Dès que le jour commence, Ô Jésus, mon Sauveur ! Tiens-moi dans ta présence, Loin du mal, de l’erreur. |
3: |
Et pendant la journée, Ô Jésus, mon Sauveur ! Toi qui me l’as donnée, Garde mon faible coeur. |
4: |
Puis quand vient la nuit sombre, Ô Jésus, mon Sauveur ! Tu me vois dans son ombre, Et je n’ai point de peur. |
5: |
Qu’ainsi sur cette terre, Ô Jésus, mon Sauveur ! Conduit par ta lumière, Je goûte le bonheur. |
1: |
Quand Jésus suivit le chemin de la mort, C’était pour moi, (bis) Pour me délivrer de mon terrible sort, Jésus souffrit pour moi. |
1: |
Une belle patrie, Rassemble aux cieux, Pour l’éternelle vie, Les bienheureux. Sauvés par la victoire Du divin Rédempteur, Comme ils chanteront : Gloire, Gloire au Sauveur ! |
2: |
Le Fils de Dieu lui-même Vint des hauts cieux Vers ce séjour suprême Tourner nos yeux. Gardons bien la mémoire De l’amour du Seigneur, Et déjà disons : Gloire, Gloire au Sauveur ! |
3: |
Jésus, loin de la terre, Nous ravira ; Dans la maison du Père, Il nous prendra. Oh ! quel bonheur de croire ! Rachetés du Seigneur, Ensemble chantons : Gloire, Gloire au Sauveur ! |
1: |
Au delà du ciel bleu, bien loin de cette terre, Pour nous, jeunes enfants, qui connaissons Jésus, Il est un doux repos dans la maison du Père, Où le péché, la mort, la douleur ne sont plus. |
2: |
Au-delà du ciel bleu se trouve une demeure, Où le Sauveur lui-même un jour nous recevra. Dans un bonheur parfait nous verrons à toute heure L’Agneau saint qui pour nous à la mort se livra. |
3: |
Au-delà du ciel bleu, l’Ami le plus fidèle, Jésus, nous aime et suit notre course ici-bas. Il nous guide et soutient ; si notre pied chancelle, Lui-même nous relève et raffermit nos pas. |
4: |
Au-delà du ciel bleu, une sainte couronne, Une harpe divine aux sons harmonieux, Un vêtement sans tache où la gloire rayonne, Sont préparés pour ceux qui marchent vers les cieux. |
5: |
Au-delà du ciel bleu, dans la gloire éternelle, Ah ! fixons nos regards, arrêtons notre coeur Sur Jésus, et qu’à lui, dont l’amour nous appelle, À jamais soient louange, obéissance, honneur ! |
1: |
Les rachetés du Seigneur, Ô grâce, ô gloire, ô bonheur ! Seront autour du trône. Voyant l’Agneau divin, Ils célébreront sans fin Son amour éternel Qui resplendit dans le ciel. |
2: |
Ils diront, pleins de ferveur, « Digne, digne es-tu, Seigneur, D’être exalté sans cesse ! » Oh ! qu’ils seront heureux, Dans les saints parvis des cieux, Toujours avec Jésus, Où la mort ne sera plus. |
3: |
Et, dans ce choeur triomphant, On verra tout jeune enfant Qui croit à la Parole. Oui, tous ensemble heureux, Près du Sauveur glorieux, Dans l’éternel séjour, Nous goûterons son amour. |
1: |
Cité d’or, ô ville sainte ! Qui foulera tes parvis ? Qui, dans ta céleste enceinte, Près de Dieu peut être admis ? |
2: |
Le pécheur, de ses souillures Dans le sang de Christ lavé, Seul franchit tes portes pures : Il est saint, il est sauvé. |
3: |
Remplis d’une sainte allégresse, En tes murs il entrera ; De Jésus, de sa tendresse, À jamais il jouira. |
4: |
Il contemplera la gloire Du saint Agneau mis à mort ; Il chantera sa victoire Dans un éternel transport : |
5: |
« Gloire à celui qui nous aime ! À lui force et majesté ! À Jésus, gloire suprême Dans toute l’éternité ! » |
1: |
Bien loin des luttes de la vie, De la peine et de la douleur, Se trouve pour l’âme ravie Un lieu de repos, de bonheur. Et ma demeure est là ! (bis) |
2: |
Là tout est paix, joie et lumière ; Des saints c’est l’éternel séjour ; C’est l’heureuse maison du Père Où de Jésus brille l’amour. Et ma demeure est là ! (bis) |
3: |
Et bientôt le Sauveur qui m’aime M’introduira dans ce saint lieu ; Là je serai, bonheur suprême ! Avec lui, toujours près de Dieu, Car ma demeure est là ! (bis) |
1: |
Dans la pure lumière, Plus haut que le ciel bleu, Est la maison du Père, La demeure de Dieu. |
2: |
Un repos ineffable Règne dans ce séjour ; La paix inexprimable De l’éternel amour. |
3: |
C’est ta présence, ô Père ! Qui remplit ce saint lieu D’amour et de lumière : C’est ton repos, ô Dieu ! |
4: |
Et c’est là qu’est ma place ; Dans l’éternel bonheur ! Là me conduit ta grâce, Ô Jésus, mon Sauveur ! |
5: |
À toi rendu semblable, Je vais bientôt, Seigneur, Voir ton front adorable Couronné de splendeur ; |
6: |
Et dans ce lieu de gloire, Durant l’éternel jour, Je dirai ta victoire, Ô Fils du Dieu d’amour ! |
1: |
Il est un pays magnifique, Sans péché, douleur, ni chagrin, Où des élus le saint cantique Vers l’Agneau montera sans fin. |
refrain: |
Venez tous, (bis) Venez dans ce beau pays promis ; Venez tous, (bis) Venez dans le paradis. |
2: |
C’est le pays de la lumière, Du vrai repos et de la paix ; C’est là, dans la maison du Père Que le bonheur règne à jamais. |
3: |
C’est le pays de la promesse Où Jésus nous introduira, Où notre coeur, plein d’allégresse, Avec amour le bénira. |
1: |
Bien plus près que les anges, Tout près de notre Dieu, Nous dirons ses louanges Dans le céleste lieu. Nous aurons la couronne, En mains la harpe d’or, Vers Jésus, sur son trône, Nos chants prendront l’essor. |
2: |
Nous n’aurons plus à craindre Ni peines, ni douleurs ; Nul sujet de nous plaindre, Ni de verser des pleurs. Contemplant tous la face Du Sauveur plein d’amour, Nous chanterons sa grâce Dans l’éternel séjour. |
3: |
Si notre coeur embrasse Ce destin glorieux, C’est que Dieu, par sa grâce, Nous forma pour les cieux. Ainsi, dès notre enfance, Servons tous le Sauveur, Et, remplis d’espérance, Marchons vers ce bonheur. |
1: |
Heureux l’enfant qui, sentant sa misère, Près du Sauveur est venu s’abriter ! Jésus l’accueille et Dieu devient son Père ; Il est en paix ; rien ne peut l’agiter. |
2: |
Heureux l’enfant qui, marchant sur la trace Du bon Berger qui se donna pour lui, Prête l’oreille à la voix de sa grâce : Il trouve en lui son sûr et ferme appui. |
3: |
Vienne à sonner pour lui la dernière heure, Il ne craint point : son coeur repose en paix ; Vers Dieu son Père, en sa sainte demeure, Heureux enfant, il s’en va pour jamais. |
1: |
Pourquoi vint-il sur cette terre Pour partager ici-bas notre sort ? Pourquoi vint-il dans ce lieu de misère Pour endurer la souffrance et la mort ? Pour nous sauver, Jésus laissa la gloire Qui l’entourait dans la splendeur des cieux ; Il est venu, Victime expiatoire, Nous apporter un salut glorieux. (bis) |
2: |
Pourquoi Jésus naît-il dans l’indigence, Lui, le Très-haut, lui, le Prince de paix, Au lieu de naître au sein de l’opulence, Comme le fils d’un roi dans son palais ? Jésus est né dans une obscure étable Pour nous montrer, enfants, l’humilité ; Ce Roi du ciel, ce Sauveur adorable, Dès son berceau choisit la pauvreté. (bis) |
3: |
Pourquoi Jésus a-t-il, sur cette terre, Lui, saint et pur, supporté tant de maux ? Pourquoi fut-il, sur la croix du Calvaire, Bien qu’innocent, cloué par des bourreaux ? Il a souffert, mais sa douleur expie Tous les péchés qui nous fermaient le ciel, Jésus est mort pour nous donner la vie Et, près de Dieu, le bonheur éternel. (bis) |
1: |
Une nacelle, en silence, Vogue sur un lac d’azur ; Tout doucement elle avance Sous un ciel tranquille et pur. Mais soudain le vent s’élève, Chassant un nuage noir, {Et les vagues qu’il soulève Font trembler, car c’est le soir.} (bis) |
2: |
Grande alors est la détresse Des voyageurs éperdus ; Grande est aussi leur faiblesse, Leur foi ne les soutient plus. Mais il en est Un qui veille Sur eux tous, bien qu’endormi, {Ah ! faudra-t-il qu’on l’éveille ! N’est-il plus leur tendre Ami ?} (bis) |
3: |
Maître, es-tu donc insensible ? Tu le vois, nous périssons ! Tout miracle t’est possible, Sauve-nous, nous t’en prions ! D’eux aussitôt il s’approche. Puis il dit au vent : Tais-toi ! {Et tendrement leur reproche D’avoir eu si peu de foi.} (bis) |
4: |
Ainsi, souvent dans la vie, L’orage assombrit nos coeurs ; Bien que pour nous Jésus prie, Prêt à calmer nos terreurs. Comptons mieux sur sa tendresse, Son coeur ne saurait changer ; {De ses brebis en détresse, Il est toujours le Berger.} (bis) |
1: |
Sur toi je me repose, Ô Jésus, mon Sauveur ! Faut-il donc autre chose Pour un pauvre pécheur ? Conduit par ta lumière, Gardé par ton amour, Vers la maison du Père Marchant de jour en jour… |
refrain: |
Sur toi je me repose, Ô Jésus, mon Sauveur ! Faut-il donc autre chose Pour un pauvre pécheur ? |
2: |
Au plus fort de l’orage, Tu te tiens près de moi, Ranimant mon courage, Et soutenant ma foi ; C’est dans ton coeur qui m’aime Que tu sais me cacher, En vain Satan lui-même Voudrait m’en arracher... . |
3: |
En toi j’ai la victoire, La paix, la liberté ; À toi je rendrai gloire Durant l’éternité ! Si du bonheur qui passe La source doit tarir, C’est assez de ta grâce Pour vivre et pour mourir... . |
1: |
Jadis, dans la nuit sombre, Quelques bergers pieux Voient resplendir dans l’ombre Une clarté des cieux. Du Seigneur c’était l’Ange Venant en ce séjour Dire l’histoire étrange De Christ, de son amour. |
2: |
« C’est un heureux message », Dit-il, « n’ayez pas peur ; Dans le prochain village Vous est né le Sauveur ». Ô merveille ineffable ! Les bergers ont bientôt Trouvé dans une étable L’Enfant, Fils du Très-haut. |
3: |
Jésus, rempli de grâce, Grandit en sainteté, Marchant devant la face Du Dieu de vérité. Il fut constamment sage, Soumis à ses parents, Et, durant son jeune âge, Modèle des enfants. |
4: |
Jésus venait du Père, En ce triste séjour, Répandre la lumière, Manifester l’amour. Il donnait aux coupables Le pardon et la paix ; Vers lui les misérables Avaient toujours accès. |
5: |
Pris par des mains impures, Lui, le grand Roi des rois, Sans défaut, sans souillures, Est cloué sur la croix. Mais c’est pour nous qu’il souffre, Il meurt pour le pécheur ; Il nous sauve du gouffre De l’éternel malheur. |
6: |
Par la gloire du Père Jésus ressuscité Dans la céleste sphère Glorieux est monté. Puissant et divin aide, Pour nous, dans le saint lien, Il prie, il intercède, Sans cesse auprès de Dieu. |
7: |
Du ciel, ceint de lumière, Jésus va revenir ; Dans la maison du Père Il veut nous réunir. Nous irons voir sa gloire Au céleste séjour Et là dire l’histoire De son divin amour. |
1: |
De Canaan, quand verrons-nous Le céleste rivage ? Vers le Jourdain, entendez-vous ? Christ nous appelle tous. Près de lui, doux partage ! À l’abri de l’orage, Nous pourrons chanter à jamais Le cantique de paix. |
refrain: |
Oh ! quel parfait bonheur ! Quel bonheur ! (bis) Oh ! quel parfait bonheur ! Après tant de labeur ; Pour toujours réunie L’Église, en sa patrie, Entonnera l’hymne sans fin : Gloire à l’Agneau divin ! |
2: |
Vêtus de blanc, les rachetés De Christ verront la gloire. Par sa vertu ressuscités, Ils diront ses bontés. Célébrant sa victoire, Son oeuvre expiatoire, Autour de son trône, avec eux, Nous lui rendrons nos voeux. |
3: |
Si dans les cieux, pour un pécheur Qui vient à repentance, Les anges saints, d’un même coeur, Bénissent le Seigneur, Quelle réjouissance, Lors de la délivrance De tout son bien-aimé troupeau Triomphant du tombeau ! |
4: |
En Canaan, ce beau séjour, Pays de la promesse, Rassemblés enfin tous un jour Par le divin amour, Nous chanterons sans cesse L’hymne de l’allégresse, Qui retentira dans le ciel Au matin éternel. |
5: |
De ce grand jour d’éternité, Quand brillera l’aurore, Tous consommés dans l’unité Et dans la charité, À celui qu’on adore Nous redirons encore : Digne est l’Agneau de recevoir Force, empire et pouvoir ! |
1: |
Jésus aime les petits ; Dans ses bras, il les a pris, Alors que sur le chemin, il allait, faisant du bien. De sa voix douce, il les presse De recevoir sa tendresse. «Oh! merci, merci, Seigneur, Tu nous aimes, quel bonheur!» |
2: |
Jésus garde les enfants ; Ses soins pour eux sont touchants ; Dans leur sommeil ou leurs jeux, Toujours il veille sur eux. Sa douce main ne se lasse De les bénir, quelle grâce ! «Oh ! merci, merci, Seigneur, Tu nous portes sur ton coeur !» |
3: |
L’enfant même tout petit, Peut servir Jésus aussi, Quand il est obéissant, Soumis, aimable et content ; Quand joyeusement il donne Et qu’à son frère il pardonne. «Daigne augmenter notre ardeur À te servir, bon Sauveur !» |
1: |
Je suis petit, mais quelle grâce ! Du bon Berger je suis l’agneau. Il a voulu me donner place Tout près de lui dans son troupeau. |
refrain: |
Ah ! que je mette, (bis) Ô bon Sauveur ! Sous ta houlette, (bis) Mon jeune coeur. |
2: |
Je suis petit, dans la faiblesse : Jésus ne me délaisse pas. Objet des soins de sa tendresse, Il me soutient à chaque pas. |
3: |
Je suis petit, pourtant ma vie Est d’un grand prix devant ses yeux, Car il mourut — grâce infinie ! — Pour me donner accès aux cieux. |
4: |
Je suis petit, en sa présence, À tout jamais, dans ses parvis, Je chanterai l’amour immense Du Dieu Sauveur et de son Fils. |
1: |
Jésus, mon Sauveur, est puissant Pour me garder; (bis) Si mon chemin devient glissant, Il me sauvera du danger |
1: |
Le Seigneur m’aime, Bonheur suprême, Le Seigneur m’aime, Il est amour ! |
refrain: |
Je redirai toujours : Le Seigneur m’aime, (bis) Il est amour ! |
2: |
En sacrifice À la justice, En sacrifice, Il vint s’offrir. |
3: |
Le poids immense De mon offense, Le poids immense Tomba sur Lui. |
4: |
À toi la gloire Et la victoire, À toi la gloire, Agneau de Dieu ! |
1: |
Fidèle au conseil divin, D’un coeur ferme et sûr, À la cour d’un roi païen Daniel resta pur. Rappelons-nous aujourd’hui Ce que fit Daniel Et soyons tous comme lui Des témoins du ciel ! |
2: |
Épié tout à l’entour Et malgré la loi, Il priait trois fois le jour, Ferme dans sa foi. Comme Daniel, ayons tous Un but arrêté Et maintenons à genoux Notre fermeté. |
3: |
Calme, au milieu d’ennemis, Daniel honorait Sans crainte et sans compromis Son Dieu qu’il aimait. Nous aussi, pour le Sauveur, En son nom si beau, Sachons montrer la couleur De notre drapeau ! |
1: |
Comme les vierges, dans la parabole, Seigneur Jésus, nous sommes endormis ! Beaucoup des tiens, oubliant ta Parole, Sont devenus du monde les amis. Mais tous repris dans notre conscience, À toi Jésus nous crions à genoux ! De notre coeur chasse l’indifférence, Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous ! |
2: |
Préoccupés des choses de la terre, Nous avons tous oublié tant de fois La chose, ô Dieu, qui seule est nécessaire, D’être à tes pieds et d’écouter ta voix ! Mais à nos coeurs, ton Esprit fait entendre Que des hauts cieux déjà revient l’Époux ! Avec ferveur, nous désirons l’attendre : Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous ! |
3: |
Hélas ! caché dans une aride terre, Plus d’un talent, Seigneur n’a rien produit ! Autour de nous, notre faible lumière N’a pas brillé pour éclairer la nuit. Mais nous voulons, pendant la dernière heure, Porter du fruit pour toi, travailler tous, Jusqu’au moment d’entrer dans ta demeure. Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous ! |
1: |
Blessé pour moi, (bis) Oui, sur la croix, Il fut blessé pour moi ! Tous mes péchés devant Dieu ne sont plus, Tous effacés par le sang de Jésus. |
1: |
Ouvre mes yeux, (bis) Et je verrai les merveilles Qui sont dans ta loi. (bis) |
1: |
Ne crains pas, car je t’ai racheté ; Par ton nom je rai appelé, Ne crains pas, tu es à moi ! (bis) |
1: |
«Venez à Moi», nous dit Jésus ; «Prenez mon joug sur vous, Apprenez de moi, Car mon joug est aisé Et mon fardeau léger». |
1: |
Laissez venir à moi Les petits enfants, Et ne les empêchez pas ; Car à de tels est le royaume Des cieux. (bis) |
1: |
Les gages du péché, C’est la mort, (bis) Mais le don gratuit — de Dieu (bis), c’est la vie éternelle En Jésus-Christ notre Seigneur. (bis) |
1: |
Car Dieu a tant aimé la monde, Qu’il a donné son Fils unique, Afin que quiconque croit en lui — ne périsse pas, (bis) Mais qu’il ait la vie éternelle. |
1: |
Que dois-je faire pour être sauvé ? (bis) Crois au Seigneur Jésus, (bis) Et tu seras sauvé ! Oui, crois au Seigneur Jésus, Et tu seras sauvé ! |
1: |
Encore un peu de temps, Et celui qui vient viendra ; Car il ne tardera pas ! Amen, viens, Seigneur Jésus ! (bis) |
1: |
Par grâce vous êtes sauvés. (bis) Cela ne vient pas de vous, Mais c’est le don de Dieu. (bis) |
2: |
Non point par les oeuvres sauvés, (bis) Mais par la foi, (bis) Pour ne pas vous glorifier, Par grâce vous êtes sauvés. |
1: |
Christ a souffert une fois pour les péchés, Christ a souffert pour les péchés, Lui, le juste, Pour nous injustes, Afin de nous amener à Dieu. |
1: |
Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste Pour nous pardonner — nos péchés, (bis) Et nous purifier de toute iniquité. |