46verset 2
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Ô bonheur inexprimable De t’avoir pour son Berger ! Toujours tendre et secourable, Ton coeur ne saurait changer. Dans ta charité suprême, Tu descendis ici-bas Chercher tes brebis toi-même Et les prendre dans tes bras. |
47verset 3
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Le jour, je suis sous ta lumière ; La nuit, je repose en ton sein. Au matin, ton regard m’éclaire Et me guide dans mon chemin ; Et chaque soir, ô tendre Père, Tu prépares mon lendemain. |
49verset 1
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Jésus m’aime, Moi petit ; Oui, lui-même Me l’apprit. Ma faiblesse Trouve en lui Paix, sagesse, Tendre appui. |
55verset 2
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Ô Dieu tutélaire ! Qui vois nos besoins, Tu te montres Père, Dans tes tendres soins. |
56verset 1
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Jésus est notre ami suprême. Oh ! quel amour ! Mieux qu’un tendre frère il nous aime. Oh ! quel amour ! Ici, famille, amis, tout passe ; Le bonheur paraît et s’efface ; Son coeur seul jamais ne se lasse. Oh ! quel amour ! |
62verset 1
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Si vous saviez quel Sauveur je possède ! Il est l’Ami le plus tendre de tous. Il sympathise, il prie, il intercède. Oh ! je voudrais qu’il fût aussi pour vous ! |
70verset 3
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Remplis d’une sainte allégresse, En tes murs il entrera ; De Jésus, de sa tendresse, À jamais il jouira. |
77verset 2
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Grande alors est la détresse Des voyageurs éperdus ; Grande est aussi leur faiblesse, Leur foi ne les soutient plus. Mais il en est Un qui veille Sur eux tous, bien qu’endormi, {Ah ! faudra-t-il qu’on l’éveille ! N’est-il plus leur tendre Ami ?} (bis) |
77verset 3
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Maître, es-tu donc insensible ? Tu le vois, nous périssons ! Tout miracle t’est possible, Sauve-nous, nous t’en prions ! D’eux aussitôt il s’approche. Puis il dit au vent : Tais-toi ! {Et tendrement leur reproche D’avoir eu si peu de foi.} (bis) |
77verset 4
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Ainsi, souvent dans la vie, L’orage assombrit nos coeurs ; Bien que pour nous Jésus prie, Prêt à calmer nos terreurs. Comptons mieux sur sa tendresse, Son coeur ne saurait changer ; {De ses brebis en détresse, Il est toujours le Berger.} (bis) |