103verset 2
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Je veux, sachant qu'il m'aime, Me remettre à ses soins : Beaucoup mieux que moi-même, Il connaît mes besoins. Ce Dieu plein de tendresse Confondrait-il ma foi ? Non ; plus le mal me presse, Plus il est près de moi. |
106verset 3
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Seigneur, quand de toi je m'approche, Mon coeur ne connaît plus d'effroi : Ta grâce est une haute roche, Un refuge assuré pour moi. Tu m'as, Jésus, pris dans tes bras ; Satan ne m'en ôtera pas. |
116verset 3
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Quand, délaissé par la plus tendre mère, Je n'aurais plus aucun refuge humain, Le Tout-Puissant, mon fidèle et bon Père, Pour me sauver me prendrait par la main. |
118verset 1
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Qui jamais nous condamnera, Nous, élus pour la vie ? Qui même nous accusera, Nous, que Dieu justifie ? Le Fils du Père, Mort et ressuscité, Ceint de lumière, Dans les cieux est monté. Pour nos faiblesses, nos langueurs, Il intervient lui-même, Et nous sommes plus que vainqueurs En Celui qui nous aime. |
119verset 3
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Là, pour nous cesseront les larmes, Les travaux, la soif et la faim ; Là, plus de dangers, plus d'alarmes : Paix parfaite et bonheur sans fin. |
124verset 1
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Vainqueur de Satan et du monde, Le Fils de Dieu sort du tombeau : Aux horreurs d'une nuit profonde Succède le jour le plus beau. Plus de terreur, plus de détresse ! Ô chrétiens, peuple racheté, Avec une sainte allégresse, Chantons Jésus ressuscité ! |
126verset 2
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Oh ! qu'il est doux de trouver à toute heure Un tendre ami prêt à nous soulager, D'avoir accès, Seigneur, en ta demeure, D'avoir ton aide au plus fort du danger ! |
127verset 3
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Pour nous, élus, nation sainte, Non, plus de condamnation, Plus de frayeur, non, plus de crainte : Dieu nous a donné son pardon. |
128verset 7
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Ô charité suprême, Partage des élus ! Le Rédempteur nous aime : Que nous faut-il de plus ? Ah ! vivons chaque jour Dans son fidèle amour ; Publions ses vertus ! (bis) |
137verset 2
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De nature enfants de colère, Nous étions morts dans nos péchés ; À la plus affreuse misère Par Lui nous sommes arrachés. |