171verset 3
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Ô bon Berger, ta tendresse incessante Dans ta maison veut l'introduire un jour. Pour la porter ton épaule est puissante ; Pour la chérir tout ton coeur est amour. |
174verset 3
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Lorsqu'à ta venue J'entendrai l'appel De ta voix connue Pour entrer au ciel, Qu'est-ce que j'apporte ? Qui voudra de moi ? Tu m'ouvres la porte ! Tout me vient de toi ! |
178verset 1
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Nous chantons de Jésus l'amour tendre et sublime. Il suffit à nos coeurs, ce trésor précieux, Ce merveilleux amour, plus profond que l'abîme, Qui s'élève plus haut que l'infini des cieux. Sur le vaste univers, que sa lumière inonde, Resplendit cet amour, sans cesse rajeuni. Dès les temps éternels, avant que fût le monde, Seigneur, tu nous aimas ! Que ton nom soit béni ! |
188verset 2
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Dans ce temps sombre et difficile, Pour soutenir ma faible foi Et me conduire au sûr asile, Bon Berger, tu prends soin de moi. Lorsqu'ici-bas le mal progresse, À la veille de ton retour, Je te bénis de ta tendresse, Des soins touchants de ton amour. |
193verset 1
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De sa divine présence Jésus remplira l'univers ; Il étendra sa puissance Sur tous les rivages des mers. |
198verset 5
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Oh ! quels transports d'allégresse Quand son peuple le verra, Quand sa divine tendresse À jamais nous couvrira ! |
199verset 2
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Partout avec Jésus ! Si ce tendre Berger En des sentiers ardus me fait parfois marcher, S'il m'éprouve souvent, et m'ôte ceux que j'aime, Quand tout vient à manquer, il me reste lui-même. |
205verset 1
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Jésus est l'Ami suprême, Le tendre Ami de mon coeur ; Jésus est Celui qui m'aime, Mon Refuge et mon Sauveur. |
208verset 5
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Ah ! je sais que ta tendresse Daigna s'abaisser vers moi, Me prit dans ma petitesse Pour m'élever jusqu'à toi. |
209verset 2
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Ah ! s'il est vrai que mes pieds ont laissé Mille faux pas empreints sur la poussière ; Sur mon sentier, si l'obstacle dressé A, trop souvent, ralenti ma carrière, Combien de fois, au lieu de me punir, Tes tendres soins, ta pitié qui déborde, N'ont, dans mon coeur, laissé qu'un souvenir, Le souvenir de ta miséricorde ! |